Je décline toute responsabilité en cas de mauvaise réparation ou d’accident !
Il faut prendre un voltmètre et mesurer la résistance :
Il faut faire cela sur les 4 injecteurs, sur les 4 injecteurs j’ai 1,6 ohms.
Je décline toute responsabilité en cas de mauvaise réparation ou d’accident !
La première étape consiste à faire une commande sur amazon.fr (ou autre) :
– Appareil de mesure du reflux pour injecteurs à rampe commune à 28 Euro TTC et mettre 10 Euro TTC pour le port.
Ensuite rien de plus simple que de faire le montage, il suffit de débrancher les retours pour mesurer :
On regarde ensuite s’il y a un écart (c’est celui le plus rempli qui fonctionne le moins bien). Sur ma voiture aucun écart notable, donc on peut dire qu’il n’y a pas de problème.
Pour 40 Euro, je sais que mes injecteurs sont bons 🙂 . Une fois que l’on a le kit on peut le réutiliser plusieurs autres fois …
Le sportif, âgé de 34 ans, aurait succombé à un arrêt cardiaque entre la Siesta et le Fort Carré à Antibes.
…..
Originaire de la région parisienne, la victime participait au relais 2 x 21 km.
Pour rassurer les autres coureurs, voici deux autres articles que j’ai vu sur internet :
A lire : http://www.irbms.com/marathon-et-crise-cardiaque :
Etude de 2000 à 2010
- 50 arrêts cardiaques sur un total de 11 millions de coureurs.
- 85% chez les hommes.
- 42 arrêts cardiaques fatals sur les 50, mortalité plus faible qu’en général en France pour toute mort subite (rapidité d’intervention des secours)
- cause la plus fréquente : cardiomyopathie hypertrophique
A lire aussi : http://www.marathons.fr/Courir-dangereux-pour-le-coeur
À partir d’un bassin de 3292268 marathoniens, des chercheurs de l’Université de Toronto ont établi un ratio d’un décès par 126000 coureurs en compétition. C’est beaucoup, dites-vous ? À titre de comparaison, on aurait une chance sur 88772 de mourir noyé et 1 sur 91994 de mourir dans un incendie ! « La course à pied n’est pas plus dangereuse qu’un autre sport, indique le cardiologue Martin Juneau, directeur de la prévention à l’Institut de cardiologie de Montréal. Tous les efforts violents ou intenses, qu’il s’agisse du vélo, de la natation ou même des relations sexuelles, peuvent mener à une mort subite. Le risque est un peu plus élevé que lorsque vous êtes assis dans votre salon, parce que le cœur est davantage sollicité, mais c’est infime ». Dans les faits, rarement les crises cardiaques surviennent lors d’une activité physique. « Cinq à sept pour cent des accidents cardiaques (mortels ou non) arrivent après un exercice et touchent en grande majorité des personnes sédentaires, précise le Dr Juneau. C’est le cas typique du pelleteur du dimanche. Chez les personnes en forme, c’est extrêmement rare ». Chez les moins de 35 ans, la mort subite est avant tout liée à des malformations cardiaques congénitales et, après 35 ans, à la maladie coronarienne.
La rumeur veut que le « sprint » à l’arrivée soit particulièrement dangereux. Près de la moitié des morts subites surviennent d’ailleurs en fin de course, ont remarqué les chercheurs de l’Université de Toronto, qui conseillent d’éviter le « sprint final ». Le cardiologue Martin Juneau ne partage pas cet avis. « Le sprint final équivaut à l’exercice intermittent à haute intensité, ou l’entraînement par intervalles. C’est excellent pour un développement efficace et rapide des capacités cardio-vasculaires (deux fois plus que l’entraînement continu !), à condition d’être déjà entraîné ».
L’avenir ?
En attendant, un grand nombre de joggeurs utilisent déjà le cardiofréquencemètre, qui mesure instantanément la fréquence cardiaque et peut émettre une alarme en cas de rythme anormal.
La question est : Est-ce que le cardiofréquencemètre aurait pu indiquer une anomalie ?
Il y a longtemps qu’il n’y avait pas eu un temps magnifique sur le marathon. Et ce n’est pas pour rien que le record de participation a du être battu.
Le soleil n’est pas un gros avantage, mais c’est agréable. J’ai fait une pause au moins tous les 5 km, cette année il n’y avait pas de bouteille à la montée de Cagnes-sur-mer. A par cela, rien a dire sur l’organisation.
J’ai fini le marathon en 3h58min22 selon ma montre, comme toujours je suis parti trop vite et arrivé au 30ème kilomètre, j’ai fini en première 🙂 .
Voici la vitesse sur mes 5 derniers marathons des Alpes-Maritimes. Jusqu’au 20 ème kilomètre j’arrive sans mal à faire du 11,5 km/h, ensuite c’est la gestion des petits « bobos ». Les ischios qui tirent trop, l’estomac qui réclame du carburant, les poumons qui veulent faire une pause, le cerveau qui veut faire une photo …
L’allure sur les 5 derniers marathons : en blanc c’est la marche … jamais un marathon sans marche.
J’utilise RubiTrack pour faire ces graphiques.
10 km | 21,1 km | 30 km | 42 km | Dossard | Classement général | |
2009 | 00:51:14 | 01:47:51 | 02:36:09 | 03:42:59 | 10296 | Arrivé(e) 2971 sur 7842 |
2010 | 00:50:36 | 01:49:00 | 02:42:00 | 04:00:00 | 3913 | Arrivé(e) 4471 sur 8232 |
2011 | 00:47:12 | 01:43:00 | 02:39:00 | 04:14:00 | 4784 | Arrivé(e) 4634 sur 7103 |
2012 | 00:57:05 | 02:00:38 | 03:01:35 | 04:29:34 | 4717 | Arrivé(e) 5196 sur 6687 |
2013 | ? | 02:01:15 | 02:57:18 | 04:27:53 | 3685 | Arrivé(e) 5005 sur 6923 |
2014 | 00:49:37 | 01:49:14 | 02:43:31 | 03:56:21 | 5272 | Arrivé(e) 3237 sur 6821 |
2015 | 00:51:16 | 01:50:44 | 02:40:42 | 03:58:15 | 3844 | Arrivé(e) 2978 sur 6661 |
Moi j’ai l’impression que les Marathons de La Rochelle et du Médoc doivent tourner au tour de 6000 à 7000 arrivants. Mais bon c’est simplement une impression …
Si je regarde le nombre d’arrivants par année, on est plutôt dans un creux :
Années | Arrivants | Delta |
2008 | 8223 | NA |
2009 | 7842 | -381 |
2010 | 8232 | +390 |
2011 | 7103 | -1129 |
2012 | 6687 | -416 |
2013 | 6923 | +236 |
2014 | 6821 | -102 |
2015 | 6661 | -160 |
Un grand merci a tous les bénévoles !!
Voici les premières statistiques que j’ai fait sur la course :
Les catégories :
BEM | 1 | 0,02% |
CAM | 1 | 0,02% |
EAM | 1 | 0,02% |
ESF | 13 | 0,20% |
ESM | 35 | 0,53% |
HCF | 5 | 0,08% |
HCM | 14 | 0,21% |
JUF | 2 | 0,03% |
SEF | 479 | 7,25% |
SEM | 1630 | 24,69% |
V1F | 572 | 8,66% |
V1M | 1965 | 29,76% |
V2F | 299 | 4,53% |
V2M | 1190 | 18,02% |
V3F | 38 | 0,58% |
V3M | 312 | 4,73% |
V4F | 2 | 0,03% |
V4M | 32 | 0,48% |
V5F | 3 | 0,05% |
V5M | 9 | 0,14% |
Total | 6603 |
Pour aller un peu plus loin dans les statistiques, si on regarde la vitesse dans les 10 premiers km et la vitesse moyenne jusqu’au 40 ème kilomètre. Et que l’on regarde ensuite l’écart entre ses vitesse on obtient la courbe suivante :
La personne qui a fait 1,7 km/h de mieux sur le dernier kilomètre :
V1M | 01:30:52 | 02:36:36 | 03:35:12 | 04:47:08 |
– 1h30 sur le 10 km … c’est sûr qu’il a dû en garder sous la semelle 🙂 .
La personne qui a fait 6,2 km/h de moins sur le dernier kilomètre :
V1M | 00:41:42 | 01:30:41 | 02:53:09 | 04:45:03 |
– Très bon temps jusqu’au 30 km … ensuite le mur !.
Je suis à – 1,1 km/h , je pars donc encore trop vite. La moyenne doit être à -0,7 km/h , je pense qu’entre -0,3 km/h & -1,3 km/h c’est normal. Si on n’est pas dans ce range cela indique que l’on a fait
Le premier du marathon est à -0,5 km/h.
Maintenant si on regarde la vitesse entre 0-10ème kilomètre et 30-40ème kilomètre. La on peut dire que cela chute.
Le plus gros écart c’est -9,3 km/h entre le 0 -10ème kilomètres et le 30ème-40ème kilomètres.
Le vainqueur :
V1M | 00:41:42 | 01:30:41 | 02:53:09 | 04:45:03 |
Départ à 14,63 km/h et arrivé à 5,36 km/h.