Une réflexion sur « Biot/Vélo : Fin du chemin de la chèvre d’or »
Dans le même secteur, à noter la privatisation du sentier longeant la limite entre les quartiers de la Chèvre d’or et St Philippe… Un peu plus loin, un petit aménagement sympa permettrait de relier le premier lacet de la piste du guet des Soulières et l’avenue de Roumanille (contournement de Green Side). Un peu plus loin encore, sur les rives de la Bouillide, le sentier passant sous le grand pont et à l’arrière de Montaraglou n’est plus praticable.
Aux Issarts, impossible de rejoindre le chemin de Roquefort…
De l’aveu du Maire, le grand projet reliant Sophia à la Siesta prendra une dizaine d’années. En attendant, quelque petits aménagements ou entretien de l’existant à moindre frais seraient salutaires pour marcheurs et cyclistes. Bien sur, il faudrait commencer par réaliser que les voies de mobilité active ne longent pas nécessairement le réseau routier.
Encore deux exemples, la possibilité pour les vélos de passer aux feux rouges lorsqu’ils tournent à droite. Quid aussi de la possibilité de monter à vélo la Calade des Migraniers ?
Ainsi, petits chantiers +, minimum de volonté politique pourraient commencer à changer la donne à moindre frais.
Jé S
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Dans le même secteur, à noter la privatisation du sentier longeant la limite entre les quartiers de la Chèvre d’or et St Philippe… Un peu plus loin, un petit aménagement sympa permettrait de relier le premier lacet de la piste du guet des Soulières et l’avenue de Roumanille (contournement de Green Side). Un peu plus loin encore, sur les rives de la Bouillide, le sentier passant sous le grand pont et à l’arrière de Montaraglou n’est plus praticable.
Aux Issarts, impossible de rejoindre le chemin de Roquefort…
De l’aveu du Maire, le grand projet reliant Sophia à la Siesta prendra une dizaine d’années. En attendant, quelque petits aménagements ou entretien de l’existant à moindre frais seraient salutaires pour marcheurs et cyclistes. Bien sur, il faudrait commencer par réaliser que les voies de mobilité active ne longent pas nécessairement le réseau routier.
Encore deux exemples, la possibilité pour les vélos de passer aux feux rouges lorsqu’ils tournent à droite. Quid aussi de la possibilité de monter à vélo la Calade des Migraniers ?
Ainsi, petits chantiers +, minimum de volonté politique pourraient commencer à changer la donne à moindre frais.
Jé S