On dirait que le vent tourne … à suivre. En résumé :
- La diffusion de fausses informations : Fake news.
- L’achat de publicités par les Russes.
- Cambridge Analytica et les données personnelles
- Effets néfastes : http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2017/12/18/32001-20171218ARTFIG00129-facebook-admet-qu-il-peut-etre-nefaste-pour-certains-utilisateurs.php
- Evasion fiscale .
- …
La suite : Les journalistes du site spécialisé 01.net ont téléchargé leurs historiques d’activité sur Facebook, constatant, pour certains, que leurs échanges téléphoniques avaient été relevés. https://www.francetvinfo.fr/internet/reseaux-sociaux/facebook/facebook-a-peut-etre-enregistre-vos-appels-telephoniques-et-sms-sans-vous-prevenir_2671266.html . Misère.
La suite : « Avec 10 likes sur Facebook, l’algorithme est capable de mieux vous connaitre que vos collègues, avec 230 likes, mieux que votre conjoint. »
Sur France Culture : https://www.franceculture.fr/emissions/le-billet-culturel/le-billet-culturel-du-lundi-26-mars-2018 : Le temps est-il venu de supprimer Facebook ? Un vent de révolte digitale souffle depuis, avec le lancement du hashtag « #deleteFacebook » ou « #supprimez Facebook », initié par Brian Acton, cofondateur de l’application WhatsApp, rachetée par « le livre de visages » en 2014. « Le moment est venu, #supprimez Facebook », a t-il tweeté à ses dizaines de milliers d’abonnés.
Sachant que France Culture avait déjà fait une autre émission : https://www.franceculture.fr/emissions/la-vie-numerique/en-fait-cest-facebook-qui-nous-deprime : L’usage de Facebook est-il déprimant ? Oui, Facebook nous déprime. Cette baisse du bien être, les chercheurs l’attribuent à un phénomène en particulier : Facebook nous incite à nous comparer aux autres, mais à des autres qui mettent en scène leur vie sous le jour le plus favorable. D’où une érosion de notre estime de soi, qui produit une forme de mal être.