Quand la vie des autres paraît toujours plus belle

http://madame.lefigaro.fr/societe/gare-au-digital-bovarysme-160115-93797

Article rigolo « Évidemment, les plus fragiles (ados dépressifs, trentenaires fauchés ou esseulés, salariés brusquement précarisés, jeunes parents frôlant l’aliénation, couples qui ne vont plus trop bien…) sont aussi les plus exposés aux effets pervers de cette mise en scène de soi. » … »…alors que nous savons très bien combien nous nous débrouillons pour enjoliver le réel, nous prenons souvent pour argent comptant les images des autres… »

Misère.

 

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